Après un an passé à la tête de la ville de Rufisque, Omar Cissé, le maire de la ville de Rufisque et son équipe municipale sont éprouvés par une pile de contraintes financières, qui minent le fonctionnement de l’institution municipale. La gestion entamée le 16 février 2022, subit les affres de l’exonération de la redevance que la ville recevait des Contribution Economique Valeur Ajoutée et Contribution Economique L ocale Valeur Locative. Malgré tout le maire compte faire preuve d’imagination pour contourner les contraintes financières.
Omar Cissé a fait face à la presse pour passer en revue la gestion de la ville. Un bilan peu reluisant aux yeux du maire, en raison des contraintes financières, liées à la réduction drastique de la redevance tirée des contributions locales en valeur locative et en valeur ajoutée, contrôlées par l’État du Sénégal. A l’édile de Rufisque de préciser que son mandat est parti sur le tableau de bord du (PDUD), Programme pour Développement Urbain Durable, 2022 et 2035 dont quatre points majeurs ont été les plus en vue.
Il fallait donc rappeler à l’opinion, le rouvellement du Plan d’Action Prioritaire,( 2022-2026), voté par le conseil municipoal, assorti d’une accusée de reception. Durant les cinq à venir ce PAP va encadrer 117 actions pour le compte de la mairie, d’une valeur de 76 milliards de francs CFA. Omar Cissé n’a pas maqué de souligner d’un trait rouge, la question de l’occupation anarchique de l’espace publique. « Nous marquons notre engagement sans faille à mettre un terme à l’occupation anarchique de l’espace publique. On n’ a pas le choix, car personne ne peut développer la ville dans le désordre. Il faut que chaque chose soit à la place qu’il faut », dira Omar Cissé avant de marteler, » je rassurer lles populations que c’est essentiel et qu’on se mette tous d’accord que nous mettrons toute notre énergie pour que l’occupation de l’espace publique soit régulière et organisée », assure ce dernier.
Il a en sus, informé du lancement des travaux de voierie avec notamment, les 7 km de route au profit de Rufisque, par le biais de l’AGEROUTE, vers le quartier Nimzath. Il en de même seloàn lui de l’éclairage public, « qui implique l’intervention de la Direction du Service technique de la ville qui a connu de nouvelles couleurs depuis l’arrivée du maire à la tête de la ville ». D’ailleurs plusieur quartiers comme les HLM, ont vu leur éclairage public réhabilité sur fonds propres de la mairie, pour un budget de 150 milions de FCFA, servant à l’achat de fournitures et de matériles électriques, pour la maintenance du réseau électrique de Rufisque.
A cela s’ajoute la coopération décentralisée, dont celle avec Nantes qui a géré la maison des Arts et de la Culture, celle de Dahla et Rufisque, à l’origine de la réfection du jardin public et la coopération avec la Gambie, déjà revouvelée.
Le gros mal de Rufisque est le dernier point, retenu par le maire, c’est la question financière. Omar Cissé n’y va pas par le dos de cuillère. 25% des ressources de ville de Rufisque ont été perdu », un fait lié à lexonération de la redevance perçue de l’Etat, et qui la tiré des CEL/VA et CEL/VL, entre les mains du pouvoir central. Rufisque a vu de pactole de 1 milliard 300 millions réduit de façon drastique par l’Etat. Un déficit budgétaire qui a amoindri les chance de la ville de pouvoir fonction convenablement à en croire le maire Omar Cissé. Malgré toutes ces contraintes financières, le dit faire preuve d’imagination et d’esprit dd’initiative » pour mettre au point des projet comme le PACIC, qui nécessite le concours des initiatives et projets des populations, dont certains ont déjà été accompagné par la mairie.